Τρίτη 31 Ιουλίου 2012

Naomi Watts, égérie de lumière

Naomi Watts, égérie de lumière



Publié le 16.07.2012


Elle a été l’image d’Angel de Thierry Mugler pendant quelques années. La comédienne australienne Naomi Watts est aujourd’hui l’égérie d’Astalift, marque de soins haut de gamme créée par la compagnie japonaise Fujifilms et lancée en février dernier en France… Parce que, pour avoir une belle peau, elle l’affirme, dans son métier, la lumière est primordiale ! Naomi Watts est une actrice chic, sans artifices, qu’on verra bientôt interpréter le rôle de la princesse Diana au cinéma. Entrevue.

Par Marion Renard






Qu’est-ce qui vous a fait dire oui à la marque Astalift ?

Déjà, le fait que ce soit pour un produit de beauté, est plutôt agréable. C’est très flatteur pour moi ! Et puis, c’est génial de faire partie d’une marque à laquelle vous croyez vraiment. Depuis six mois maintenant, j’utilise ces produits et j’ai trouvé une incroyable transformation sur ma peau, et je dis ça avec une entière sincérité, parce que cette Jelly Aquarysta (le produit star, ndlr) est juste formidable : à peine vous la mettez sur la peau, elle est comme un gant, elle donne de l’éclat et l’utilisation du produit est simple. Et je n’ai pas besoin de m’encombrer, moi qui voyage tout le temps. J’ai juste besoin de trois-quatre « choses » essentielles.


Quelle est votre routine beauté au quotidien ?

Mon programme est relativement simple : je sais depuis toujours que nettoyer sa peau est vraiment important, que sa texture évolue selon le climat, les voyages, qu’elle peut passer de très sèche à grasse, et que ce qui compte, c’est de rester hydratée. Mon but est de conserver cette lumière, ce « glow » que ma peau peut perdre avec le temps. Alors, je nettoie ma peau, j’applique une crème de jour, le soir une crème de nuit, basique. Mais c’est extrêmement important, particulièrement pour quelqu’un comme moi, qui porte un peu trop de maquillage… une grande partie du temps ! Comme sur des shootings ou en tournage qui, parfois, durent dix à douze semaines, et où l’on vous réapplique du make-up à longueur de journée. Et comme il est prouvé que la peau absorbe beaucoup plus le maquillage avec la lumière, on doit prendre soin de sa peau, et boire beaucoup d’eau. Donc avoir de bons produits est la clé.


Et côté corps, vous faites attention ?

Je suis maman de deux petits garçons, je travaille et voyage beaucoup, donc le peu de temps que j’ai pour prendre soin de moi est quasiment équivalent à… aucun ! Mais je ne suis pas aussi obsédée qu’on peut le croire par ce que je mange, par mon corps… Je fais de l’exercice, j’aime faire du sport, et c’est vrai que je suis plus âgée et que j’ai toujours envie de me souvenir comment mon corps fonctionnait à l’époque (rires) !



Comment la beauté est-elle venue à vous ? Est-ce quelque chose que vous tenez de votre mère ou des make-up artists qui vous ont donné leurs « tips » ?

Je dois dire que j’ai définitivement une très belle mère, et je suis certainement inspirée par sa beauté en tant que fille… Mais, elle ne passait pas énormément de temps à ça. C’était une sorte de garçon-manqué, ce n’était pas quelqu’un qui passait des heures avec les crèmes ou le maquillage, ou quoi que ce soit d’autre. Je dois dire que, entrer dans l’industrie du film vous apprend sur le métier, sur les trucs des maquilleuses. L’éclairage est quelque chose d’essentiel dans mon métier, qui fait tout en fait. Sinon, je pense qu’on a un instinct naturel à faire attention à soi… C’est comme un devoir de s’assurer de prendre soin de soi. Personne n’a envie d’être moche sur une photo !


Vous avez commencé tard au cinéma grâce à David Lynch dans Mullholland Drive, est-il dur de rattraper le temps ?

David Lynch, j’adore cet homme. Il est bien sûr au top de ma liste de réalisateurs. Quand il m’a découverte et proposé de jouer dans ce film génial, je savais qui j’étais, quels étaient mes goûts. Je n’avais pas 23, 24, 25 ou 26 ans, j’en avais 31. Au final, c’était une bonne chose de commencer tard. Si ça se trouve à 20 ans, je n’aurais pas fait les mêmes choix. Tout le monde dit que tout s’arrête à 40 ans pour les actrices, heureusement, ce n’est pas vrai !


Comment gérez-vous le fait de prendre de l’âge dans cette industrie ?

C’est pour tout le monde pareil, à Hollywood ou ailleurs. L’image dans le miroir n’est plus la même qu’avant. J’essaie de rechercher les avantages : je me sens plus sage, plus sereine, moins dans l’apparence. Les rôles qu’on me propose sont plus complexes, plus intéressants. Je ne joue plus la petite amie d’à côté ! Mais je dois avouer qu’il y a évidemment les bons et les mauvais jours…


Vous n’aimez pas l’atmosphère d’Hollywood, vous vivez désormais à New York. Trop de mauvais souvenirs ?

J’ai travaillé et vécu à Hollywood pendant dix ans, c’est bon si vous êtes en famille, mais vivre tout seul, je trouve ça plutôt difficile. Et j’ai de bons et mauvais souvenirs de cette époque. Etre auditionnée et être rejetée, on croit en vous, ­— vous vous dites alors que vous devez avoir quelque chose — et puis on n’y croit plus. Soit vous n’êtes pas drôle, trop intense, pas assez sexy, trop vieille, trop jeune… Et à un moment, vous vous dites que vous ne pouvez plus faire ça. C’était très difficile avant David Lynch. Lui, c’est un génie, il a changé le cours de ma vie… J’adore New York, c’est une ville excitante, où l’on se sent très connecté avec le monde, et pas juste dans l’industrie du cinéma. Il est bon d’être capable d’échapper à son travail, et surtout de croiser différentes cultures, d’autres styles et horizons…


www.Astalift.fr


L'Officiel Paris@lofficielparis
Pour L'Officielmode.com, Naomi Watts, égérie Astalift, s'est prêtée au jeu de l'interview beauté...

Δεν υπάρχουν σχόλια:

Δημοσίευση σχολίου